À l'apeçu Cours de perfectionnement, Courtelary, Français, Général, pll_64404a6ce904d, Sport en général, vol de distance Actuellement, le cours de perfectionnement vol de distance a lieu à Courtelary. Les participants racontent ici leurs expériences. Un fantôme Jaxida s'est déchaîné sur l'aérodrome de Courtelary ;-) 27 avril: De bonnes expériences pour se lancer dans le vol de distance Le rapport suivant est rédigé en allemand: Der letzte Flugtag vom 27.4. wurde zum besten Tag des Kurses mit Flügen zwischen Le Brassus und Aarau. Damit nahm der diesjährige BFK Streckenflug einen würdigen Abschluss. Das sehr nasse und wechselhafte Aprilwetter hatte Folgen: obwohl praktisch jede Regenpause zum Fliegen genutzt wurde, wurden in 95 Flügen nur 139:38 Stunden geflogen, wie Kursleiter Roland Bieri ermittelte. Das ergibt im Durchschnitt knapp 14 Std und 10 Flüge pro Teilnehmer. Ohne motivierte und engagierte Fluglehrer und Teilnehmer wäre es wohl noch weniger geworden. Eine der wichtigsten Erfahrungen war sicher, dass lehrreiche Segelflüge – ausser bei Regen – bei fast jedem Wetter möglich sind. So blieb die Stimmung trotz schlechtem Wetter gut. Unser Dank geht an die Gastgeber auf dem Flugplatz Courtelary, die Fluggruppen SG Biel und GVV Courtelary. Martin Seiler hat lokale Infrastruktur und den Flugbetrieb organisiert und Reinhold Müller hatte die Kursadministration im Griff. Der Dank der Teilnehmenden geht an Schlepppilot Andy Jenni und natürlich an alle Fluglehrer, die ihr Wissen und Können engagiert weitergegeben haben: Wisi Bissig, Bärnu Gerber, Tinu Seiler, Matthias Zwicky und Kursleiter Role Bieri. Für die Teilnehmer am BFK 2023, Marcus M. 1/2 2/2 26 avril: Fly the line! Le rapport suivant est rédigé en allemand: « Was sollte Menschen im BFK Streckenflug tun? Nun, Streckenfliegen! Das konnten wir heute (endlich) nach regnerischen Tagen wieder üben. Der Start: Ein kleiner Morgennebel, Scheiben enteisen, Mütze anziehen – insgesamt recht frostig. Später aber setzt sich die Sonne langsam durch. Ergebnis: Alle waren in der Luft, alle kamen auf ihre Kilometer. Die Meteo war dabei durchaus speziell: Viele tragende Linien und eine insgesamt entspannte Basis, was genügend Zeit für Frequenz- und Flugplatzwechsel ermöglichte. Ideal zum üben. Den Genfersee haben im Süd-Westen aus Distanz viele gesehen; gleich mehrere Airliner von relativ nah und von unten im Nord-Osten einige. Die Tango-Sektoren waren aktiv, die Controllerin ziemlich beschäftigt. Es macht schon Sinn, Instrumente und Lufträume zu kennen und die notwendige Voice zu beherrschen. Die Stimmung zum Flugschluss war gut, die Vorfreude auf die verbleibenden Tage ist intakt. » Rapport: Marcus M. 24 avril: voler dans l’onde 2ème partie « Le briefing météo a réveillé l’enthousiasme, annonçant des possibilités de vol dynamique et thermique, avec une base des nuages jusqu’à 2’000m l’après-midi. Si les ascendants étaient bien au rendez-vous, le plafond est lui resté à la hauteur des crêtes du Jura, limitant drastiquement la marge de manœuvre. En abordant les pentes du Chasseral entre des nuages qui se reformaient sans relâche, la tentation fut grande de me laisser glisser vers le Plateau et d’y évoluer avec plus d’espace et de calme. Toutefois la quasi-certitude d’un atterrissage en plaine m’y fit renoncer. » Compte-rendu: Olaf M. 23 avril: voler dans l’onde « Décollage à 11h50 pour un entraînement au vol de distance… non pas horizontale mais en distance verticale. Largage du remorqueur dans la région du Mont-Soleil vers 1450 mètres. Ensuite, difficile de centrer les quelques thermiques en raison du fort vent du sud-ouest. Après une lutte d’environ 40 minutes entre 1300 et 1500 mètres, cap à l’est en direction de Sonceboz en suivant la crête nord. Après une seconde lutte dans les rotors, nous parvenons à sortir de la turbulence vers 1700 mètres pour entrer dans la ouate de l’onde qui nous mènera jusqu’à 3100 m (FL102). En passant 2900 mètres, je contacte Alpes Radar (119.225) pour demander l’autorisation de monter jusqu’au FL115. Nous recevons le code transpondeur 4240 et le contrôleur nous demande d’attendre au FL100 maximum. Après quelques minutes, nous recevons l’autorisation de montée jusqu’au FL120. Nous n’avons pas pu monter au sommet de cette autorisation, mais nous avons fait un superbe vol de distance verticale de 4h12. » Compte-rendu: Joseph R. 21 avril: L’attente amène l’0nde… Après la journée de neige d’hier, nos attentes météorologiques pour ce vendredi étaient élevées. A la fin de quelques blocs théoriques dans une matinée brumeuse, nous avons monté nos avions et mis tout le monde en position de décollage. Après quelques premiers décollages dans des conditions météorologiques incertaines, un front pluvieux s’est approché et a rapidement relégué nos appareils dans des hangars secs ! Au milieu de l’après-midi, la journée semblait terminée et la plupart des participants ont pris le chemin du retour. Presque sur les talons, les trois SG de Haute-Argovie ont fait demi-tour et ont accepté la proposition de Seiler Martin de seller le duo et de faire une volte chacun. Les deux premiers vols ont effectivement été effectués rapidement. Nous avons entamé le dernier vol bien après cinq heures, et voilà qu’une onde nous porte encore à près de 2000 mètres. Finalement, nous avons forcé notre avion à redescendre au sol pour ne pas faire attendre mes collègues plus longtemps. Parfois, l’incroyable se transforme en expérience inoubliable! 1/2 Courtelary sous la neige... 2/2 Programme en cas de mauvais temps: briefings longs et fondue 20 avril: Courtelary en hiver De la neige, deux briefings longs et de la fondue… 19 avril: premiers vols de distance ! La météo a respecté les prévisions – et a permis les premiers vols de distance vers l’ouest. Les premiers biplaces ont décollé après 13 heures en direction de l’ouest, avec pour objectif de croiser la CTR des Eplatures. L’accès s’est avéré parfois plus difficile qu’espéré en raison de la base basse. Des altitudes comprises entre 1600 et 2300 mètres étaient possibles, ce qui a permis à la plupart d’entre eux d’atteindre leur but. Les remorquages courts vers le Mont Soleil ont été très appréciés. En voici quelques descriptions (en français et allemand): «Die operative Höhe über les Eplatures ist mit dieser Basis sehr klein. Dadurch hatte ich mit zu vielen Themen gleichzeitig zu kämpfen und Fehler schlichen sich ein. Zu spät beim Aufruf vor der CTR, Umstellen der Frequenz, richtiges Funken, Aufwind nicht verlieren usw. – und schon war ich am Limit meiner Kapazitäten. Ich konnte gestern sehr vieles lernen und freue mich auf weiter spannende Flüge.» Oliver G. «Décollage vers 14h pour un vol intéressant car les bases des nuages étaient relativement basses. Vers l’Est, la couverture nuageuse étant plus compacte et la base des nuages encore plus basse. Un vol vers l’Ouest s’annonçait plus adéquat. Larguage au nord de Courtelary vers 1500 m/mer. Ensuite direction Ouest. Premier thermique et prise d’altitude entre St-Imier et Renan, montée vers 1700 m/mer. Ensuite, prise de contact avec les Eplatures pour un transit direction Morteau. La masse d’air au nord semblaient plus sèches avec des cumulus bien formés. Sur la première crête du Jura, la masse d’air semblaient être influencée par celle plus stable provenant du plateau. De ce fait, l’option d’une route vers l’Ouest par Morteau – Pontarlier nous a semblé la plus adéquate. Au nord de la Brévine, nous avons quitté les Eplatures pour continuer en direction de l’Ouest. Plus nous avançions, plus le base des nuages s’élevaient. Dans la region du Mont d’Or, nous sommes montés jusque vers 2200 m/mer. Puis nous avons continuer en direction du Risoux jusqu’à notre point de virage au nord du Sentier, vers Mouthe. Vol de retour sous les bases des cumulus à 2300 m/mer en ligne droite de notre point de virage jusque vers Vallorbe, exactement sous la TMA de Genève. Retour en direction de l’Est avec la base des nuages qui descendait progressivement. Contact à nouveau avec les Eplatures pour le transit en direction Est. Puis encore un peu de distance jusqu’à Malleray et retour à Courtelary en profitant de petits thermiques en milieu de vallée. Atterissage vers 18h après 4 heures de vol.» Joseph R. «Mit kurzem am Gelände vorbeiführenden Schlepp bis Mont Solei gestartet. Im Hangflug gelingt es mir etwas Höhe zu erfliegen, die zerrissenen Termikschläuche vermag ich heute aber nicht richtig zu zentrieren, Wisi B. als Copilot mit seiner Erfahrung zeigt mir, wie es geht. Dank seiner Hilfe kann ich dann auf Strecke. Das Sightseeing bis Pontarlier geling – die Umgebung ist mir noch unbekannt. Das Crossing in les Eplatures gelingt aber einigermassen geschmeidig; die Erfahrung aus dem Funkbetrieb in Bern hilft da doch einiges. Richtung Pontarlier knacken wir die 2‘000 Meter, kurz danach gibt es gegen den Wendepunkt dann starkes Saufen. Wisi ist gefordert, bringt uns aber wieder auf Höhe für den Rückflug. Auf gerader Strecke Richtung Courtelary unter den Wolken durch mit schliesslich 150 km/h – die Aufwinde müssen ständig weggedrückt werden. Es werden 163 Kilometer. Dummerweise stimmt für die Landung die Höheneinteilung nicht wirklich. Aber Übung macht ja den Meister.» Erich R. «Unter der Wolkenstrasse Richtung le Locle konnten wir uns am späteren Nachmittag mit Rückenwind rasch Richtung les Eplatures bewegen. Jedoch befanden wir uns bei der Ankunft in der CTR aber nur noch auf zirka 200m AGL. Dies entwickelte sich zusammen mit den Funksprüchen und der Luftraumüberwachung zu einer interessanten neuen Challenge. Obwohl unsere Hoffnung mit jeder Kurve sank, fanden wir südlich der Piste in wohl letzter Sekunde den entscheidenden Aufwind. Mit 0.5 bis 1 Meter Steigen erreichten wir wieder unseren Heimtrichter. Der nachfolgende Rückflug war danach vergleichsweise ruhig und ich bin um eine wertvolle Erfahrung reicher.» Kevin K. 17 & 18 avril: On peut faire du vol à voile (presque) par tous les temps Lundi, pluie lors du briefing, et encore à 1330h. Voler? tout juste. On consulte les applications météo, on enfile un autre pull, on cherche des gants. Peut-être à partir de 15h ? Ok. Avec trois planeurs dans les airs. Certains ont même pu s’entraîner à traverser un front pluvieux local. Mardi, les prévisions sont meilleures – même surpassées par la météo actuelle! Le cône de Courtelary peut être quitté pour la première fois, malgré des bases basses au début. Granges (SO) par ici, Vue des Alpes par là-bas. Entre-temps, même le soleil brille. Bravo à tous ceux qui ont pensé de mettre de la crème solaire dans le brouillard terne du matin…